Retour sur les lieux de déportation des Juifs à Lyon

78 ans après la commémoration de la libération d’Auschwitz, le négationnisme des atrocités commises lors de la Seconde Guerre mondiale persiste chez certains jeunes de 15 à 25 ans.
« Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre », a dit un jour Winston Churchill. C’est pourquoi le devoir de mémoire concernant la Shoah se poursuit. Retour aux faits à Lyon, avec Louis, Curtis, et Nastasya dans ce dernier long format d’Etilosni by ISCPA.
Les précédents reportages de l’équipe de 4′ chrono sont à retrouver ici
Lithothérapie : tirer le vrai du faux
Le quidditch sans effets spéciaux
Le Bistrot du père, à la croisée d’une cantine et d’un restaurant
Lithothérapie : tirer le vrai du faux

Vous avez déjà dû croiser une boutique qui vend de jolies petites pierres de toutes les couleurs possibles. Saviez-vous qu’elles sont destinées à un usage médicinal physique ou mental ? Il s’agit de la pratique de la lithothérapie.
Des pierres pour soigner ses douleurs ? Cela serait possible avec la lithothérapie. Curtis, Louis et Nastasya sont allés à la rencontre de ceux qui s’adonnent à cet usage des cristaux, pour en tirer les infos et les intox. Toutes les réponses sur cet effet de mode depuis quelques années dans ce 3e long format d’Etilosni by ISCPA.
Le quidditch sans effets spéciaux

À Lyon, pas de quai « neuf trois quart », mais on peut quand même faire du quidditch. Bien sûr, pas de balais volants ni de sortilèges, mais une pratique qui associe sport et culture geek. Zoom sur cette discipline méconnue qui tend à se développer.
Pas besoin d’être un sorcier pour jouer au quidditch. Le club lyonnais Crookshanks est pionnier dans la pratique. Ce sport très particulier est inspiré des œuvres de J. K. Rowling. Tout y est repris, sauf la magie. Il existe même une compétition européenne.
Le Bistrot du père, à la croisée d’une cantine et d’un restaurant

Prendre une pause déjeuner sans son téléphone et avec des plats que vous ne choisissez pas : tel est le concept du Bistrot du père. Il appartient aux Chartreux. C’est un moyen d’apprendre les bonnes manières à table avec les élèves.
Fini la cantine, maintenant c’est le bistrot ! C’est ce que propose l’institution des Chartreux à ses élèves. Dès la classe de première, ils peuvent se restaurer au Bistrot du père au milieu de clients comme vous et nous. Le concept : passer une heure à table sans son téléphone et en découvrant de nouveaux plats. On y enseigne aussi la pédagogie et les arts de la table.
Nos trois journalistes Nastasya Sorribes, Curtis Thevenon et Louis Léger ont découvert ce bistrot où l’on apprend les bonnes manières.